LA MAI d’après l’œuvre de Marina Carr,
par la troupe « LES GENS DU LUNDI »
Au gré de ses souvenirs, Millie nous entraîne en Irlande à la fin des années 70, pour un voyage dans sa famille où se côtoient quatre générations de femmes hautes en couleurs.
La Mai, sa mère, voue un amour fidèle et éperdu à son mari volage, Robert. Après cinq années d’absence, le retour de cet homme provoque des remous au sein de cette grande famille. Obsessions, rancœurs et non-dits refont surface…
Entre drame et comédie, La Mai nous plonge dans un univers fantasque où chaque génération de femmes est mise en valeur.
Mise en scène au plateau par « Les Gens du Lundi » avec Angélique Rigault, Annie Le Danvic, Bénédicte Jégard, Christian Guilloux, Claudine Robin, Frédérique Lasbats, Michelle Saison et Nicole Montoir.
Conseillère artistique : Mbembo
Cette pièce est mise en scène par les Gens du lundi qui répètent à l’amphi Mons depuis plusieurs mois. Ils cherchent des salles pour des représentations dans la région.
Si vous êtes intéressés, vous pouvez passer directement par: contact@artsenscenes.fr
ou la présidente de la troupe : Frédérique Lasbats / 06.45.14.89.45 / flasbats@laposte.net
En 1658, Mazarin, Premier ministre de la régente Anne d’Autriche, règne en maître absolu sur le royaume de France. Se sachant atteint par une maladie incurable, il achève l’éducation de son filleul, le jeune Louis XIV, en accomplissant un dernier coup d’éclat politique. Au moyen de ruses diplomatiques dont il a le secret, le cardinal négocie un traité de paix entre la France et l’Espagne, en échange du mariage de Louis avec l’infante Marie-Thérèse. Mais le fin stratège va devoir écarter sa nièce Marie Mancini, qui a su gagner le cœur du roi et risque de faire échouer ses plans…
Depuis janvier 2017, la troupe du Manoir travaille cette nouvelle création passionnément. On y retrouvera avec jubilation plusieurs personnages célèbres du XVII ème siècle, dans le tumulte du pouvoir, des amours contrariées, de la vie qui nous échappe. Antoine Rault retrace avec précision les faits de la grande histoire dans des échanges savoureux entre jeune et ancienne génération, hommes et femmes, maître et serviteur. Cela se passe en 1658 mais cette comédie humaine nous parait finalement très contemporaine…
L’ Apologue ayant deux fonctions, instruire et divertir, nous avons voulu une création collective mariant librement passages d’auteurs et textes de notre cru, sans oublier la complicité de quelques hommes avertis…
Fortes de la belle histoire des monologues du Vagin, joués pendant trois années consécutives, une équipe de femmes d’Arts en Scènes a souhaité poursuivre l’aventure : l’exploration des contrées inconnues des mondes féminins.
Les spectateurs retrouveront dans ce spectacle original, tendresse, amours et désamours, légèreté et gravité, humour… Création collective mise en scène par Armel Mandart
L’intrigue se déroule dans une sorte d’institution que le spectateur, tout au long de la pièce, aura du mal à identifier. Est-ce une maison de repos, un sanatorium, voire une prison ? Difficile de le dire avec certitude. Mais leurs résidents, patients ou prisonniers, désignés anonymement par des numéros, sont bien encadrés.
C’est cette petite hiérarchie que Pinter met en scène d’une manière jubilatoire : le Directeur, Roote, garant de l’institution, dont il sent sourdement qu’elle risque de vaciller, et lui avec ; les numéros 2 et 3, Gibbs et Lush, qui rivalisent d’ambition pour prendre sa place ; Miss Cutts, opportuniste effrontée, aux amants multiples et tortionnaire de Lamb, victime consentante et propitiatoire ; Tubb (Tracy) l’intendant(e) étrange qui garde l’œil sur l’institution. Suite au décès suspect d’un patient, puis de la révélation de l’accouchement d’une autre, Roote missionne ses équipes pour enquêter sur ces faits intolérables. Mais plus l’intrigue avance, plus tout semble accuser son propre commanditaire…
